Quelques suggestions pour prévenir les risques qu'il peut y avoir en prenant des médicaments qui ne sont pas compatibles avec la conduite.
Doctopress
Publié le
16/05/23
Temps de lecture
2 min
Conduire après avoir pris certains médicaments comporte des risques
VRAI : Selon la Sécurité routière, entre 3 et 4 % des accidents sont attribuables à la prise de médicaments. C’est certes inférieur aux autres facteurs de risques comme l’alcool (30 % des accidents), mais cela reste loin d’être négligeable.
Seuls les médicaments sur ordonnance peuvent être dangereux au volant
FAUX : Si les tranquillisants et somnifères de la famille des benzodiazépines sont responsables à eux seuls de 50 % des accidents mortels de la route impliquant des médicaments, certains médicaments d’automédication peuvent aussi, bien que plus rarement, présenter des risques en cas de conduite automobile. C’est le cas, en particulier, des sirops contre la toux et des médicaments contre l’allergie, qui peuvent avoir un effet sédatif.
Les médicaments concernés comportent des pictogrammes spécifiques
VRAI : Qu’ils soient sur ordonnance ou non, les médicaments qui peuvent altérer les capacités à conduire doivent afficher sur leur boîte un pictogramme (un triangle au centre duquel se trouve une voiture) destiné à alerter des risques. Ce pictogramme peut être jaune (risque faible), orange (risque réel) ou rouge (conduite fortement déconseillée).
On en trouve partout, ou presque : dans les charcuteries, les potages, les viennoiseries, les glaces et même les produits bio. Au point que, selon l’association UFC-Que Choisir, chaque Français en avalerait près de 4 kg par an ! Utilisés comme conservateurs, exhausteurs de goût, ...
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