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A quoi est due notre envie de glaces, de chocolat, de chips, bref de gras et de sucré ? Est-ce seulement lié aux émotions que le goût de ces aliments nous inspirent ? Une étude belge montre que les choses sont un petit peu plus compliquées que cela...
Pour étudier l'impact des aliments gras sur notre cerveau, des volontaires ont été branchés à des sondes contenant soit une simple solution saline, soit une solution avec des acides gras. En même temps, les participants écoutaient soit une musique triste, soit une musique neutre. Ils pouvaient aussi voir des visages exprimant les mêmes émotions. Conclusion : les personnes qui avaient reçu des acides gras, étaient moins sensibles aux effets d'une musique triste. Ce résultat était confirmé par un questionnaire (humeur ressentie), mais aussi par une IRM fonctionnelle du cerveau (activité des différentes zones associées à la tristesse).
Alors, j'ai raison de me jeter sur du chocolat quand je déprime ?
Raison ou pas, disons en tout cas que ce n'est pas seulement une question de gourmandise : la graisse qui atteint notre système digestif améliore notre humeur, même quand elle ne passe pas par les papilles. Notre système digestif communique directement avec notre cerveau.
L'épidémie d'obésité est aujourd'hui planétaire et touche particulièrement les enfants. Quant aux troubles du comportement alimentaire (boulimie, anorexie), ils sont eux aussi de plus en plus fréquents et de plus en plus répandus. Il est donc important de mieux comprendre les relations entre ce que nous mangeons et nos émotions.
Marion Garteiser, journaliste santé
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